Une interview de notre collègue Rachel Bierings.

Pendant ma formation professionnelle supérieure, je travaillais dans un restaurant dans lequel venait régulièrement manger la directrice RH de MCB. À un certain moment, j’ai pris mon courage à deux mains et je lui ai envoyé une lettre de candidature par le biais de Linkedin. Sa réaction a été positive. ‘Bravo pour votre force de caractère !’ Et deux semaines plus tard, je travaillais chez MCB.” Rachel Bierings ne travaille pas depuis très longtemps chez MCB et elle a déjà progressé en passant de sa première fonction à celle de Junior Accountmanager. Et elle a pu constater qu’elle pouvait très bien s’intégrer dans ce secteur en tant que femme : “Je pense que beaucoup de femmes ont une idée erronée d’une entreprise comme MCB, qu’elles s’imaginent ne pas y être reconnues à leur juste valeur. Mais ce sont là des préjugés : non, je constate qu’on vous reconnaît bien comme interlocuteur valable, ce que font également les clients.

 Accès libre à qui vient de terminer ses études

“Chez MCB, il est possible de commencer à travailler sans connaissances préalables, puisque les cours proposés sur la science des matériaux sont faits pour vous mettre parfaitement au niveau. Il y a également des collègues comme Thierry Janssen qui dispensent des formations supplémentaires. Et il y a également, bien sûr, le campus MCB. On met vraiment l’accent sur le transfert des connaissances en ce qui concerne les nouveaux venus. C’est là, pour moi, quelque chose de très positif. D’où vous vient votre connaissance du métal ? Quelle formation avez-vous suivie ? “J’ai fait des études d’économie commerciale dans le cadre de Avans Breda. Une formation intéressante. J’ai beaucoup aimé cette école.”

“Je remarque que MCB recherche consciemment des débutants sur le marché du travail pour la fonction de Junior Accountmanager. MCB est absolument ouvert pour ce qui concerne les candidatures spontanées et va même, après un délai relativement court, jusqu’à proposer un contrat aux gens détachés par une agence d’intérim. MCB investit beaucoup dans son personnel : il faut beaucoup apprendre, accumuler les connaissances avant de pouvoir voler de ses propres ailes. Mais cela va de soi.” 

Progresser rapidement

“Je me sens à l’aise chez MCB, tout le monde est prêt à apporter son aide. Je dois dire que j’ai été accepté par tout le monde. Il règne une culture ouverte qui permet de s’intégrer facilement. Je viens moi-même d’un milieu agricole dans lequel je ne voulais pas m’investir. Mais, c’est vrai, j’apprécie la culture typiquement brabançonne dans une entreprise. Je ne serais pas à ma place dans un cabinet d’avocats.”

“Il est également possible de progresser rapidement chez MCB : j’ai commencé comme Junior Accountmanager et après quelques mois je passais déjà dans un autre département. MCB vous offre un grand nombre d’opportunités, mais il faut encore les saisir. Je me sens à ma place dans cette entreprise : je dis ce que je veux et ce que je pense. De toute façon, tout peut se lire sur mon visage, ha ha …”

“En tant que femme, on bénéficie même d’un avantage par rapport aux hommes, mais je pense que c’est le cas dans beaucoup de branches. Je ne veux pas abuser de ce type d’avantages, je n’ai pas besoin qu’on me facilite les choses par rapport à mes collègues masculins. Je dois dire que j’aime bien être débordée de travail. Je vends des tôles d’acier. Nous travaillons à réorganiser la base de données Clients. Je n’ai pas assez de clients. Donc s’il y a des gens qui veulent devenir mes clients …”

Rachel.bierings@mcb.nl, 040-2088229

Photo Bart Koertshuis